Mise à part des rendements souvent idéales que le marché sur les fonds en euros, les contrats souscrits par Internet ont aussi d'autres privilèges.
Nombreux sont les contrats vendus spécialement sur Internet par des acteurs comme Boursorama, Altaprofits, Fortuneo, ING Direct ou BforBank présentent des avantages concurrentiels substantiels des assurances en France qui devraient drainer un public plus large.
1 Des fonds en euros efficaces
Malgré qu'ils n'ont pas échappé à la baisse généralisée des rendements observée en 2011, les contrats d'assurances vendus sur Internet continuent d'offrir des taux de rentabilité bien supérieurs aux 2,5 % à 3 % (hors prélèvements sociaux) que servent désormais les gammes standards des grands réseaux (voir tableau).
Effet de prestige oblige, le online profite toujours d'une politique commerciale généreuse de la part des quelques assureurs (Suravenir, Generali, ACMN-Vie, Crédit Agricole Assurances pour l'essentiel) qui ont choisi de miser sur ce mode de distribution étroit (moins de 1 % du marché en termes d'encours) et des frais de fonctionnement souples.
« La qualité du fonds en euros demeure un script de vente décisif », selon Sonia Fendler, directrice de Generali Patrimoine."une compagnie d'assurance" Les offres Internet sont aussi souvent les premières à profiter du dynamisme de fonds en euros récents (Internet Opportunités des ACMN-Vie, fonds en euros de Spirica, filiale de Crédit Agricole Assurances), qui, moins plombés par les obligations d'Etat que les paquebots de la bancassurance, mettent à profit leur petite taille pour saisir les opportunités et récolter une plus-value.
2 les frais réduits
Plus performants, les fonds en euros des contrats d'assurance en ligne le sont d'autant plus qu'ils sont nets de frais sur versement. « Nous n'en prélevons aucun : chez nous 1 euro investi, c'est 1 Euro qui travaille ! », confirme d'après le co-fondateur et gérant de Linxea.
L'argument « zéro frais d'entrée » est d'autant plus appréciable qu'il va de pair avec des frais de gestion annuels souvent modérés (0,6 % pour le fonds en euros, moins de 1 % pour les unités de compte). Et des frais d'arbitrage - le passage d'une unité de compte à une autre -gratuits.
3 Des choix de gestion enrichis
Multisupports et multi-gestionnaires (plusieurs centaines de fonds sont accessibles en gestion libre), les contrats Internet sont très réactifs (arbitrages possibles en nombre illimité et généralement exécutés à J + 1 en ligne, contre J + 3 dans nombre de réseaux).
Ils donnent également accès - moyennant des frais supplémentaires, de l'ordre de 1 % , à des gestions profilées haut de gamme, pilotées par des partenaires de renommés (Edmond de Rothschild AM pour Boursorama-vie, Lazard Frères Gestion pour Altaprofits, Rothschild & Cie Gestion pour ING Direct...).
Altaprofits, dont l'offre vient d'intégrer une gestion à horizon pour les futurs retraités, propose même depuis un an Titres à vie, un contrat conçu en partenariat avec SwissLife, qui, dès 30.000 euros, permet de profiter d'un mandat de gestion privée à moindre coût (frais limités à 0,94 %), ouvert sur 260 OPCVM et la totalité des actions du SBF 120 (valeurs également accessibles en gestion libre à partir de 3.000 euros).
4 Des options sécurisantes
Dynamisation ou sécurisation des plus-value, « stop loss » (désinvestissement des UC à partir d'un seuil de moins-value préfixé), investissements progressifs, réallocations programmées...
Gratuites ou facturées (de 0,5 % à 1 % du montant arbitré), plusieurs options de gestion automatiques sont proposées afin d'amortir les effets des à-coups boursiers.
S'y ajoutent, en matière de prévoyance, des garanties décès optionnelles (plancher, majorée, vie entière, etc.) qui, en cas de disparition prématurée de l'assuré, garantissent à ses bénéficiaires le versement d'un capital minimal quelle que soit le mode du fonctionnement des marchés.
Offre Internet du contrat d'assurance Vie |
Nombreux sont les contrats vendus spécialement sur Internet par des acteurs comme Boursorama, Altaprofits, Fortuneo, ING Direct ou BforBank présentent des avantages concurrentiels substantiels des assurances en France qui devraient drainer un public plus large.
1 Des fonds en euros efficaces
Malgré qu'ils n'ont pas échappé à la baisse généralisée des rendements observée en 2011, les contrats d'assurances vendus sur Internet continuent d'offrir des taux de rentabilité bien supérieurs aux 2,5 % à 3 % (hors prélèvements sociaux) que servent désormais les gammes standards des grands réseaux (voir tableau).
Effet de prestige oblige, le online profite toujours d'une politique commerciale généreuse de la part des quelques assureurs (Suravenir, Generali, ACMN-Vie, Crédit Agricole Assurances pour l'essentiel) qui ont choisi de miser sur ce mode de distribution étroit (moins de 1 % du marché en termes d'encours) et des frais de fonctionnement souples.
« La qualité du fonds en euros demeure un script de vente décisif », selon Sonia Fendler, directrice de Generali Patrimoine."une compagnie d'assurance" Les offres Internet sont aussi souvent les premières à profiter du dynamisme de fonds en euros récents (Internet Opportunités des ACMN-Vie, fonds en euros de Spirica, filiale de Crédit Agricole Assurances), qui, moins plombés par les obligations d'Etat que les paquebots de la bancassurance, mettent à profit leur petite taille pour saisir les opportunités et récolter une plus-value.
2 les frais réduits
Plus performants, les fonds en euros des contrats d'assurance en ligne le sont d'autant plus qu'ils sont nets de frais sur versement. « Nous n'en prélevons aucun : chez nous 1 euro investi, c'est 1 Euro qui travaille ! », confirme d'après le co-fondateur et gérant de Linxea.
L'argument « zéro frais d'entrée » est d'autant plus appréciable qu'il va de pair avec des frais de gestion annuels souvent modérés (0,6 % pour le fonds en euros, moins de 1 % pour les unités de compte). Et des frais d'arbitrage - le passage d'une unité de compte à une autre -gratuits.
3 Des choix de gestion enrichis
Multisupports et multi-gestionnaires (plusieurs centaines de fonds sont accessibles en gestion libre), les contrats Internet sont très réactifs (arbitrages possibles en nombre illimité et généralement exécutés à J + 1 en ligne, contre J + 3 dans nombre de réseaux).
Ils donnent également accès - moyennant des frais supplémentaires, de l'ordre de 1 % , à des gestions profilées haut de gamme, pilotées par des partenaires de renommés (Edmond de Rothschild AM pour Boursorama-vie, Lazard Frères Gestion pour Altaprofits, Rothschild & Cie Gestion pour ING Direct...).
Altaprofits, dont l'offre vient d'intégrer une gestion à horizon pour les futurs retraités, propose même depuis un an Titres à vie, un contrat conçu en partenariat avec SwissLife, qui, dès 30.000 euros, permet de profiter d'un mandat de gestion privée à moindre coût (frais limités à 0,94 %), ouvert sur 260 OPCVM et la totalité des actions du SBF 120 (valeurs également accessibles en gestion libre à partir de 3.000 euros).
4 Des options sécurisantes
Dynamisation ou sécurisation des plus-value, « stop loss » (désinvestissement des UC à partir d'un seuil de moins-value préfixé), investissements progressifs, réallocations programmées...
Gratuites ou facturées (de 0,5 % à 1 % du montant arbitré), plusieurs options de gestion automatiques sont proposées afin d'amortir les effets des à-coups boursiers.
S'y ajoutent, en matière de prévoyance, des garanties décès optionnelles (plancher, majorée, vie entière, etc.) qui, en cas de disparition prématurée de l'assuré, garantissent à ses bénéficiaires le versement d'un capital minimal quelle que soit le mode du fonctionnement des marchés.
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